Le coronavirus a eu un impact colossal sur l’économie. Malgré cette situation, des entreprises continuent de faire avancer leurs pions. C’est le cas avec Alstom que vous allez découvrir dans cet article.
Un projet conséquent
L’onde de choc provoquée par la pandémie du siècle fut terrible et il faudra sans doute patienter de nombreuses années pour constater un retour à la normale pour l’économie. Malgré les différentes campagnes de vaccination qui sont initiées aux quatre coins du monde, rien ne permet d’affirmer dans l’immédiat que la crise sanitaire du coronavirus sera complètement jugulée dans les mois à venir.
Cependant, il faut bien préparer la relance des activités. La France a mis en place différents mécanismes afin de préparer son économie à l’après-Covid. C’est dans cet environnement particulier qu’Alstom, le mastodonte français du secteur ferroviaire a signé un gros contrat avec l’État de la Serbie pour exécuter le chantier de la ligne numéro 1 du métro de Belgrade, la capitale de la Serbie.
La marque Alstom s’exporte bien
Soucieux des défis à surmonter en matière de mobilité urbaine à Belgrade, les dirigeants serbes souhaitent moderniser un secteur qui en a grand besoin. Pour mener à bien ce projet, les dirigeants serbes ont choisi l’entreprise française Alstom qui une référence dans le monde en ce qui concerne l’activité ferroviaire. Le coût total du projet métro de Belgrade est de 1,8 milliard d’euros. Ce montant prend en compte la construction de 16,5 km de voie ferrée et de 18 stations d’arrêt. Lors de la signature de l’accord, les plus hautes autorités serbes étaient présentes, l’entreprise française a également pu compter sur l’assistance du gouvernement français qui va aider Alstom à mobiliser les ressources nécessaires pour réussir le chantier. Avec ce contrat, Alstom montre qu’elle est bien un pilier dans son domaine et qu’elle arrive à exporter son expertise.